Rana Rains: Une nouvelle venue sur la scène musicale Belge News
Rana Rains: Une nouvelle venue sur la scène musicale Belge
News

Rana Rains: Une nouvelle venue sur la scène musicale Belge

Voici une nouvelle arrivée sur la scène musicale belge ! Né en Jordanie et élevé en Suisse, cette jeune femme nous livre, en avant-première, sa voix soul, teinté de pop, à l’occasion de la sortie de son album, Fever, enregistré dans la capitale. Nous l’avons rencontrée dans son appartement bruxellois.

Clint : Depuis combien de temps évoluez-vous dans la musique ?
Rana Rains : Aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours chanté. Lorsque j’étais enfant, fêtes de famille et soirées entre jeunes un peu plus tard, dès qu’il y avait un micro quelque part, je le saisissais. Mais, je suis professionnelle depuis un peu plus de 14 ans. J’ai enregistré à Londres, avec un producteur de house music, Chris Simmonds, et à Paris, avec Thomas Dell’arso. Et j’ai également collaboré avec un arrangeur libanais très connu, Nicolas Chibbi.

Clint : Vous avez des racines multiculturelles. Pourquoi cette halte à Bruxelles ?
Rana Rains : le studio ICP où j’ai eu le plaisir d’enregistrer, est devenu ma seconde maison. Outre la qualité du son, qui y est excellente, l’équipe et l’environnement zen sont propices à la production d’un travail de qualité.

Clint : Pourquoi avoir choisi Fever comme titre phare de votre album ?
Rana Rains : C’est une chanson qui date de 1956 et que j’aime tout particulièrement. Elle a été reprise par de nombreux artistes et j’avais envie d’y apporter ma touche personnelle. Les paroles sont simples mais elle est extrêmement difficile à chanter si on veut y mettre suffisamment d’âme pour transmettre des émotions.

Clint : « Wrong Time to be Real » semble déjà décoller sur les réseaux sociaux. Quelle est l’histoire de ce morceau ?
Rana Rains : J’ai écrit cette chanson à quatre mains, avec mon producteur Joseph Baldassare, en hommage à Amy Whinehouse. La première fois que je l’ai chantée en studio, ce fût magique. Un frison m’a traversée toute entière. J’avais l’impression qu’elle était là, en partage avec moi. Je me suis complètement lâchée et j’ai porté ma voix à un seuil jamais atteint. C’est comme si elle avait libéré mes cordes vocales de ce petit manque de confiance en moi que j’avais.

Clint : Etes-vous une chanteuse engagée ?
Rana Rains : A travers ma musique, mon message est simple et universel. La vie vaut la peine d’être vécue. Rien n’est hasard et dans tout négatif passager, il y a du positif à en retirer. Il faut juste prendre un peu de recul pour le voir.

Clint : Dans un tout autre registre, vous pratiquez également la méditation ?
Rana Rains : Ce n’est pas vraiment un autre registre. La méditation est complémentaire à ma musique. Je travaille d’ailleurs à mon premier album. Je n’ai pas encore le titre mais il est basé sur la relaxation et l’introspection, partant du principe qu’à chaque chakra correspond un son. Et de là, je les associe et me laisse voyager selon mon inspiration. La musique n’est qu’un vaste voyage.

Plus d’infos sur :
Site internet :
http://ranarains.com/
Facebook :
https://www.facebook.com/pages/Rana-Rains/525892557500325
Twitter :
https://twitter.com/RainsRana
Instagram :
http://instagram.com/ranarains

https://www.youtube.com/watch?v=l9G_67i4pCM

0 claps
0 bezoekers

Plaats reactie

666

0 reacties

Laad meer reacties

Je bekijkt nu de reacties waarvoor je een notificatie hebt ontvangen, wil je alle reacties bij dit artikel zien, klik dan op onderstaande knop.

Bekijk alle reacties